Celles-ci sont liées à notre environnement et aux facteurs extérieurs qui peuvent influencer notre capacité à accomplir nos tâches de manière efficace.
Pour travailler sur ces causes externes, vous pouvez utiliser cette méthodologie, basée sur trois stratégies à mettre en place consécutivement :
1. l'observation :
La première étape consiste à identifier clairement la source extérieure à l'origine de votre procrastination. Pour ce faire, vous pouvez tout simplement tenir une liste des tâches ou activités que vous avez tendance à procrastiner. Cette procrastination peut s'exprimer de deux façons différentes : soit vous n'initier pas du tout la tâche, vous la repousser sans cesse ; soit vous la commencer, mais vous ne parvenez pas à la finir : la procrastination s'exprime alors dans la poursuite de la tâche.
2. le choix des actions à mettre en place :
Une fois que vous avez identifier la cause externe, vous pouvez décider quelle mesure vous allez prendre pour la contrôler, ou la modérer, ou en limiter son impact.
3. la discipline :
Une fois votre choix fait, appliquez-le directement. Et surtout, avec régularité et constance. C'est pour cette raison que cette dernière étape fait appel à la discipline et non la motivation. La motivation pour arrêter de procrastiner, nombre d'entre nous l'avons, notamment en raison des conséquences négatives qu'elle implique. C'est surtout l’auto-discipline qui va vous permettre de dépasser la procrastination et d'exprimer dès lors votre plein potentiel. Votre décision a déjà été prise, à l'étape 2. Vous avez choisi et décidé des méthodes et mesures à mettre en place pour ne plus procrastiner.
Dès lors, quand la situation se présente, on ne décide plus ! On agit directement. Mettez en place vos mesure, agissez selon votre décision. Ce n'est plus le moment de décider si c'est pertinent ou pas. Ça l'est, vous l'avez déjà évalué et décidé. Maintenant actez avec constance. Cette compétence est un atout majeur, c'est la raison pour laquelle nous lui avons consacré un article complet.